comme les beaux jours, je reviens toujours ...

Pourtant je manque de temps et un peu d'envie.

Mais je ne suis pas encore décidée à fermer ce blog.
J'imagine même que je le laisserai en l'état un jour, sans le rayer complètement de la toile. C'est qu'on s'y attache finalement.
Un bout de moi est assurément caché là ...

En attendant me revoilà avec le soleil et un tableau des préoccupations qui rythment mon quotidien

attente d'une réponse suite à une candidature - pour mon homme
concours d'entrée pour mon grand étudiant 
opération (ou pas) pour ma mère - des détails à régler en famille
prévisions d'un prochain concert, des vacances début juin, d'un week-end de rencontres au 15 août (comme en 2006)
légumes du panier bio à cuisiner
nonchalance du boss - collègue d'humeur variable à supporter

Et toujours présents ces sujets d'actualité "brûlants" - révolutions, guerres, catastrophes humanitaires, montée de l'extrémisme, ...

Je me sens désarmée, en colère, privilégiée

 

A lundi. Soyez heureux ...

frissons ... bis ...

Vous ai-je déjà dit combien j'aime les rencontres fortuites, imprévisibles, les hasards de la vie, les interférences entre les individus, les coïncidences de lieux ?

Il m'est souvent arrivé d'être en présence de ces situations. Mais depuis quelques années, c'est de plus en plus fréquent.

Une des dernières en date me transmet un trouble particulier.
Je ne peux rien révéler ici car je l'ai promis.
Sachez juste qu'elle est liée à la musique, celle que j'écoute pour me mettre le coeur à l'envers et me réconcilier avec l'humain quand tout part en vrille dans ma petite tête.

Quand je décris des frissons, c'est presque pire. Surtout aujourd'hui où j'ai les nerfs en pelote, l'eau dans les yeux pourrait déborder sans y prendre garde ...

Mais voilà il suffit de quelques échanges de mails pour savoir que quelque part on résonne, on palpite à l'unisson ...

 

Il y aussi Anne dont le grand-père était né a D. près de mon village d'enfance ...