dimanche 8 avril - Aujourd'hui itinéraire

dans Paris ...

Un dimanche passé à flâner dans les passages où les boutiques étaient fermées et les passants peu nombreux

Déjeuner dans une crêperie

L'occasion de faire des photos récentes mais traditionnelles

Applaudir Cyrano de Bergerac au théâtre Espace Marais

Boire un margarita en terrasse chauffée

Grignoter des morceaux de fromage en discutant avec les blondinet(te)s

 

 

écrit dans le cadre des 366 réels à prise rapide

samedi 7 avril - Aujourd'hui laissez passer les petits papiers

Les papiers
(album Fleur de yeux de Têtes Raides - 1993)

si l'on ne jetait plus nos papiers dans les rues 
le petit balayeur ne travaillerait plus 
au bord de ton veston 
les lèvres endormies 
il a une tête qui fume son clope 
et l'autre main qui nettoie la capitale 
Posé sur ton talon 
ô mes doux caniveaux 
mes senteurs d'aurore 
sur la terre qui dort 
j'ai vingt ans j'ai trente ans ou peut-être cent ans 
dans un jour une fois plus tard mais qu'importe 
on se retrouvera dans la même maison 

pour cueillir en rêvant nos papiers dans les rues 
le petit balayeur met sa belle tenue 
sur la blanche saison 
les feuilles étourdies 
l'oeil d'un matin gris dans l'égout qui clapote 
les regrets déversés de la capitale 
les coeurs dans les pochons 
ô mes lettres froissées 
mes amours d'aurore 
poussent les pigeons morts 
j'ai cent ans dans mille ans ou peut-être entre temps 
entre tous les passants vers la même porte 
ton blason c'est toujours la gueule que tu portes 

c'est pourquoi j'ai jeté mes papiers dans les rues 
ce matin de printemps il avait disparu 
dans un de ses ruisseaux 
il a pris son bateau 

va ranger tes balais les nouvelles ordures
salue tous les copains de la balayure


Voyons ? voyons ? Peut-être devrais-je créer une sous-catégorie "Musique à la campagne - Têtes Raides" ...

écrit dans le cadre des 366 réels à prise rapide

arrêt technique momentané

La tribu cantalou-nanto-parigote se reconstitue le temps d'un week-end.

Il n'y aura donc pas de billet sur ce blog d'aujourd'hui à lundi inclus.

J'emmène dans les bagages le carnet à spirales pour ne pas perdre le fil du jeu et écrire sur les consignes données. Peut-être y aura t-il des notes par la suite dont la date serait modifiée ...

On peut supposer que la reprise d'une activité "normale" aura lieu à partir de mardi soir seulement.


Et vous ? Que faites-vous en ces temps de Pââââques ?

Aujourd'hui temps qu'il fait

Le temps qu'il fait ? La bonne blague !
Il faudrait peut-être se lamenter car il ne fait pas 25°, qu'il pleut alors que c'est le week-end, qu'il fait froid en hiver, trop chaud en été ... Stop. Sans moi !
Le temps qu'il fait m'est indifférent tant qu'il fait chaud dans les coeurs de ceux qui me sont chers et même ... allez ceux des autres.


écrit dans le cadre des 366 réels à prise rapide

Aujourd'hui un mot que j'ai écrit

Tous les mots écrits aujourd'hui ne tiendraient pas en un seul billet et, comme ils ne sont que des termes administratifs pour la plupart, ils n'ont pas leur place ici.

De cette journée, je préfère retenir la soirée amicale, entourée de personnes sensibles et passionnantes - un repas sans prétention, de la musique et des discussions politiques animées - comment pourrait-il en être autrement en ce moment ?


On verra demain si la consigne se prêtera à un billet plus inspiré ...

 

écrit dans le cadre des 366 réels à prise rapide

Aujourd'hui ceux que l'on porte

Du temps très très lointain où je regardais la télévision, je peux avouer maintenant que j'avais un faible pour les compétitions de patinage artistique. Par la suite ça m'a passé !
Ce qui me fascinait le plus c'était les "portés" réalisés par les couples. Des trucs insensés où la fille se retrouvait à virevolter au dessus du garçon. A côté de ça, il fallait ne pas trop s'attarder sur des costumes plus ringards les uns que les autres et des musiques classiques à tendance pseudo romantique. De la guimauve à l'état pur.
N'empêche que j'aurais bien aimé à seize ans être portée ainsi mais il aurait fallu que j'apprenne à patiner ...

écrit dans le cadre des 366 réels à prise rapide

Aujourd'hui ce que l'on porte

A partir de cette consigne, il est tentant de détailler son habillement ou le cabas des courses du jour.
Mais décrire l'espoir que l'on porte au fond de soi est plus complexe.
Cette certitude a fait son nid et s'est installée à mon insu durablement. On m'avait souvent dit que j'étais pessimiste, que je voyais tout en noir (comme mon père). Tant et si bien que je faisais semblant d'adhérer à cette croyance. C'est tellement plus facile de se comporter comme on pense que les autres nous perçoivent. Mais basta c'est bien terminé tout ça ! Optismiste je suis et resterai et que personne ne vienne me dire le contraire. Qu'on se le dise !

(Je peux avoir des rechutes mais je ne viendrai pas m'en vanter ...)

 

écrit dans le cadre des 366 réels à prise rapide

Aujourd'hui une signature

Ça m'amuse follement ce petit jeu de consignes quotidiennes
Je reviendrai à des choses plus sérieuses une prochaine fois
Aujourd'hui voici un morceau de ma vraie vie bien que cachée sous mon pseudo

écrit dans le cadre des 366 réels à prise rapide

Aujourd'hui un pur mensonge

Je pense de plus en plus à voter à droite le 22 avril. Pour me conforter dans cette idée, les informations de tf1 devraient suffire. Le magnifique écran plat de télévision que nous nous sommes offert pour notre anniversaire de mariage est allumé depuis ce matin sur cette chaîne et je me régale avec tous ces divertissements de qualité. Quant à mon homme, à lui matches de foot et grands prix de formule 1.

Voyez-vous je ne suis pas celle que vous croyez ...



écrit dans le cadre des 366 réels à prise rapide