Fragment d'aujourd'hui raconté en sondage d'opinion

Sondage d'opinion ? Ça ne pouvait pas mieux tomber n'est-ce pas ! Pour autant passons à un tout autre sujet.

Aujourd'hui et demain je suis en formation.
Lors de cette session, le public présent se compose de seize personnes plus le formateur.
Nous sommes là pour acquérir de nouvelles connaissances. Chacun apporte son grain de sel et c'est l'occasion d'échanger sur nos pratiques, nos habitudes, des nouveautés, des particularités, ...
Ces journées de stage sont une parenthèse dans le train-train de la vie professionnelle.
Je me demandais dans la journée si mes collègues féminines avaient remarqué les beaux yeux du jeune formateur ou encore pour qui elles allaient voter le 6 mai.
Envie de faire un sondage tiens ! Aie Aie ! stopppp ça me reprend ...

 

écrit dans le cadre des 366 réels à prise rapide

Aujourd'hui un pur mensonge

Je pense de plus en plus à voter à droite le 22 avril. Pour me conforter dans cette idée, les informations de tf1 devraient suffire. Le magnifique écran plat de télévision que nous nous sommes offert pour notre anniversaire de mariage est allumé depuis ce matin sur cette chaîne et je me régale avec tous ces divertissements de qualité. Quant à mon homme, à lui matches de foot et grands prix de formule 1.

Voyez-vous je ne suis pas celle que vous croyez ...



écrit dans le cadre des 366 réels à prise rapide

Fragment d'aujourd'hui raconté en statistique

Le samedi, 46 % des femmes actives travaillent
Si on affine ces chiffres, 72 % de celles-ci ne travaillent que le samedi matin et pour la moitié, un samedi sur deux
Sur ces 36 %, on en recense 53 % qui se sont levées avant 8 heures
Le tiers de ces 53 % a été réveillé par un radio-réveil
La moitié de ce tiers avait réglé son appareil sur France Inter
27 % de ces femmes actives commencent leur samedi en buvant un café
Café préparé par leur compagnon pour seulement 7 % d'entre elles
Et 96 % en ont ras le bol de travailler le samedi, voire même les autres jours - n'est-ce pas Anne ?



écrit dans le cadre des 366 réels à prise rapide
(avec des chiffres plus que farfelus mais tout le reste est le reflet de ma vie trépidante en ce samedi 3 mars 2012)

le temps de l'été

Les journées sont différentes en ce moment

Il fait chaud

On monte dormir à la maison un mercredi soir pour rompre le rythme de la semaine

Canelle the cat chasse la nuit

C'est le temps du pique-nique à la pause déjeuner

On mange les légumes et les fruits du jardin

Je porte des robes

On sort le soir pour assister à un concert de Ibrahim Maalouf

Et il faut maintenant se préparer au festival de la semaine prochaine ...
La vie n'est jamais monotone ici en été !

En clin d'oeil pour conclure, avec la complicité de Anna :)

Etre au bout du rouleau -  situation très peu confortable, surtout quand on est aux toilettes

sans chaussettes ...

... car si le calendrier et Pablo ont annoncé l'automne avant-hier, mes pieds ne l'ont pas encore remarqué :)

Je vaque à mes occupations chaussées de sandales d'été et le soleil réchauffe ma nuque.

Les chaussettes et les pulls ne sont pas encore les bienvenus et je retarderai jusqu'à la limite leur sortie des tiroirs.
Comme tous les ans ! Pour narguer le froid !
Avant de succomber enfin et de m'emmitoufler d'écharpes chaudes, d'enfiler des gants et d'allumer du feu.

Vive l'automne et l'été indien ...

Il faut mieux en rire ...

Un exemple prouvant la capacité de nos dirigeants. Interchangeables, on peut les rencontrer dans n'importe quelle grosse boîte !

Numéro 6 ou 7 ou 8 (je m'y perds dans l'organigramme : cela bouge à toute vitesse en ce moment) répondant à un informaticien suite à un problème sur son ordinateur.
A la question "où sauvegardes-tu tes fichiers ?", il a avoué ... "sur l'écran" !

Les Vamps

Conversation entendue au bureau de Poste du village

- Tiens bonjour madame Besseron, y'a bien longtemps que je vous avais point vue !
- Té bien le bonjour madame Picarlet ! Comment allez-vous en ce moment ?
- Tout doux, tout doux, ma pôvre. D'ces temps, y fait pas bon vieillir ! Mais voyez-vous, j'parlais de vous l'autre jour avec mon mari. Figurez-vous qu'il me soutenait que votre pôv'mère, elle était pas morte ! Alors pensez donc moi je savais bien qu'il avait tort. Je lui ai dit comme ça : Charlot, je te parie qu'elle est morte la vieille madame Paporan. Je verrai bien sa fille un de ces jours pour lui d'mander, hein !
- Et bien oui, ça fait bientôt six ans qu'elle nous a quittés ...
- Ah ça ! j'le savais bien ! J'm'étais pas trompée. J'ai gagné mon pari avec le Charlot !

C'est tout juste si elle ne sautillait pas sur place ! ! !


Tout ressemblance avec des personnes existantes ne saurait être fortuite ...
J'ai juste inventé les noms ;-)

Chronique du déménagement

Les protagonistes et le lieu : le fils, le père et la mère dans la chambre de la fille.
La mère : Vous pouvez aussi prendre ce meuble et le descendre.
Le fils : Maman ! je ne savais pas que tu vouvoyais Papa maintenant ;-)