Aller de l'avant

 

Ce serait un comble que des problèmes de santé m'arrêtent en ce moment !

Alors qu'une porte s'entrouve sur des possibilités concrètes de renouer avec le monde du travail ... pour ainsi tourner le dos à plus de vingt ans passés au sein de la même structure ... lui dire même adieu définitivement peut-être ; ce qui me conviendrait parfaitement ... pour être plus à l'aise financièrement ... envisager donc sereinement la suite des études de l'ado ...

Heureusement les premiers résultats sont encourageants !

La suite jeudi ...

 

ET MERCI POUR VOS MOTS DOUX SUR LE BILLET PRECEDENT

 

Et aussi j'aimerais tant que Erin et Fauvette soient moins tristes .....................

 

Pour réfléchir ...

Je l'avais vue sous une autre forme mais celle-ci est particulièrement bien faite. Non ?

(même avec un anglais rudimentaire, c'est compréhensible)

Se retrouver face à la bêtise

Ce que raconte Telle dans son billet m'a renvoyée à une anecdote qui m'avait tellement scotchée sur le moment que j'en avais perdu la voix.
Que de fois depuis y ai-je repensé en déroulant à nouveau le film et en y apportant une réponse appropriée et surtout narquoise !

Ca s'est passé il y a quelques années lorsque l'ado était un petit garçon de six ou sept ans que j'emmenais chaque matin chez l'assistante maternelle qui le conduisait ensuite à l'école. Elle gardait outre C. deux autres enfants qui étaient frères et dont l'aîné était du même âge que le mien. Leur père était (est toujours probablement) un homme assez petit et visiblement cela concernait aussi la taille de son cerveau !

Un mercredi matin, mon fils est arrivé tout joyeux avec quelque chose qu'il voulait montrer à sa "Tata" car il savait qu'elle et moi étions de ferventes brodeuses à ce moment là. La veille, en choisissant des fils dans une mercerie, je lui avais acheté à sa demande un petit ouvrage à réaliser au point compté : cela représentait des carottes.

Donc voilà mon gamin qui se précipite ce matin là, sa broderie commencée dans les mains, dans la salle à manger de sa Nounou. Il se retrouve face au père décrit au dessus. Qui n'en manquant pas une dans le registre macho, se moque grossièrement de lui "ben dis donc toi, tu vas finir pédé si tu commences à faire de la couture !"

Voilà comment j'ai été sidérée ce jour là !

Qu'auriez-vous rétorqué à ma place ? Sachant que le temps des parents est calculé au plus juste, il était déjà parti que je regardais la nourrice de mon fils avec un air toujours aussi effaré !

Comment faire face rapidement à autant d'idiotie ?

Je ne sais comment il éduquait ses enfants mais son aîné a eu quelques petits soucis de comportement à l'école primaire puis nous avons déménagé ... Cet été, mon ado a retrouvé certains de ses anciens copains dont celui-ci. Ce jeune homme est aussi en première et prépare un bac litttéraire.

Je me demande comment réagit son père maintenant ?

Car j'ai aussi remarqué à maintes reprises, une certaine répugnance de la part de quelques parents vis-àvis des sections littéraires. Ne serait-ce point un repaire de filles où il est bizarre de rencontrer des garçons ! Ceux-ci ne seraient-ils pas de vrais hommes ? Un garçon, c'est bien connu doit se préparer à être scientifique, à rouler les mécaniques mais certainement pas apprendre à coudre !

Il y a encore du pain sur la planche pour que les mentalités évoluent ...

Engourdie ...

... comme mes doigts, gourds sur le clavier ...

Pas envie d'écrire, de penser, de réfléchir ...

Le gris du dehors rejaillit pour une fois sur moi et cela ne me plaît guère. Mais j'en suis consciente, alors ce sera bref.

J'analyse et je connais les évolutions de mes sentiments. Je ne veux pourtant pas reconnaître qu'ils sont liés à la "séparation" hebdomadaire ! Je devrais ?

J'ai toujours fonctionné à l'auto-persuasion et jusqu'ici cela m'a plutôt bien réussi.

Je ne fais pas preuve pour autant d'un optimisme démesuré. Non j'évite de m'apesantir sur mon sort qui lorsqu'on l'examine ne semble pas si catastrophique !

Je m'oblige à m'activer différemment et à chercher le côté positif des choses qui au départ m'ennuient voire me démoralisent.

Aujourd'hui, pourtant toute la journée fut "cotonneuse" ...

Il va falloir surveiller la fréquence de ces abattements. Ce serait dommage qu'ils reviennent trop souvent !

Et puis tout n'est pas perdu : un potage aux pois cassés m'attend, fumant dans son assiette ! (Pfff !!! quelle originalité : la même recette à un an d'intervalle !)

Et si ...

... je me posais honnêtement la question de la continuité de ce blog ?

... si je mettais un peu de côté cet ego prétentieux qui me fait croire que ce que j'écris intéresse quelqu'un(e).

(Si vous voulez commenter pour dire que c'est faux, désolée mais passez plutôt votre chemin ! Je ne veux pas de miel aujourd'hui).

Les mots ne me viennent jamais facilement mais encore plus maintenant.

Et pourtant, j'ai encore expliqué vendredi dernier ce qu'était un blog, quelle utilisation en faire, comment grâce au mien j'ai rencontré d'autres personnes que je n'avais aucune chance de croiser autrement.

Je ne vais quand même pas m'étendre sur ma situation familiale qui est un peu compliquée en ce moment mais qui ne met pas mon couple en péril pour autant.

Je ne peux pas inventer des histoires alambiquées pour avoir un lectorat qui s'en délectera.

Car ce n'est pas facile de dire que tout va bien. On finirait preque par avoir honte !

Et puis ce qui ne va pas ne relève pas toujours du domaine de ce blog. En fait, j'ai certainement trop d'inhibition pour étaler sur la place publique certaines questions que je me pose.

Mais voilà que je lis une info dont la teneur est en mesure de me faire comprendre la futilité de mes propos précédents.

Combien de personnes sur cette terre aimeraient tenir un blog comme on le fait librement en France ? Mesurons-nous la chance que nous avons de le faire nous petits blogueurs péoccupés par notre nombril ?

Ce geste que nous demande Reporters sans frontières est en tout cas à notre portée pour essayer de faire avancer les choses.

Alors pensez à cliquer à partir de demain à 11 heures.

Pour qu'Internet soit pour tous un espace de liberté sans frontières !

Et je vais continuer à écrire ici de temps en temps ...

Dans nos jolies régions françaises ...

J'ai entendu une histoire édifiante ce matin sur France Inter vers huit heures moins cinq : heure de la chronique de Guy Carlier.

Après recherches, il s'avère difficile de retrouver l'information exacte car apparemment, l'article du journal régional a été supprimé ! Il en est un peu question ici.

En résumé le maire de Larmor-Plage (station balnéaire très prisée ! je n'invente rien, c'est ainsi qu'elle est présentée sur son site) a voulu se débarasser de la présence d'un homme qui venait dormir dans un local communal.

Pendant l'absence de la personne, il a aspergé d'eau de Javel ses vêtements et son sac de couchage.

Ce procédé lui aurait été inspiré par une certaine méthode de "nettoyage au kärcher", préconisée par un de ses amis !

 

Merci monsieur de me donner raison quand je sais déjà que je vais éviter de toucher à certains bulletins de vote le jour du premier tour de l'élection présidentielle ...

Oui parce que lorsque je vais voter, je prends toujours un malin plaisir à ne pas prendre tous les bulletins présents.

Je m'autorise le droit d'afficher mes préférences, non mais !

Acrostiche

• M comme Maman depuis 22 ans
• A comme Amoureuse depuis 18 ans
• D comme Douceur
• E comme Envies
• L comme Libre
• E comme Ecouter
• I comme Ingénue de temps en temps
• N comme Nouveautés
• E comme Energique même s'il faut se contraindre quelquefois

Si cela vous tente, essayez aussi !

Pas facile la reprise ...

... en main de ce blog !

Je manque d'énergie en ce début de semaine et cela se ressent ici. 

Des notes sont amorcées, stoppées par manque de mots, d'idées. Puis je n'arrive plus à les recommencer.

Pourtant, je vaque à mes diverses occupations mais des broutilles m'arrêtent et me prennent un temps fou.

Comment expliquer mes "états d'âme". Je ne veux pas m'obliger à être enjouée alors que l'envie n'y est pas.

Bref, il y a du flottement dans l'air cantalien mais ça ne durera pas ! Nom de bleu (d'Auvergne, bien sûr) !

Cirage de pompes

Avec un tel titre, je pourrais vous parler de ce que je ne sais pas faire. Mais ce ne serait pas commode puisque pas dans mes habitudes.
Comme je ne sais pas utiliser la flatterie, ce cirage de pompe là se retournerait contre moi en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. Je n'ai jamais employé ce mode de fonctionnement que ce soit dans mes relations familiales, amicales, amoureuses ou professionnelles. Je préfère l'honnêteté à toute forme de flagornerie même si cela me dessert. Car j'ai aussi le défaut de parler trop vite et de réfléchir ensuite !

Mais revenons au vrai cirage de pompes.
Celui que je pratiquais enfant puis adolescente pour toute la famille.
Pas très longtemps mais la famille s'est composée de six personnes dans les années 70. Ça en faisait des chaussures à dépoussiérer, cirer, brosser, faire briller !
C'était une corvée qui m'était dévolue. Peut-être le faisais-je trop bien ? Même si j'aurais préféré en être dispensée.
J'alignais les paires de chaussures une fois par semaine dans l'ordre croissant des pointures.
Il y avait les petits botillons de mon plus jeune frère qui commençait tout juste à marcher. Les petites chaussures du cadet qui les salissaient copieusement dans la cour de l'école. Les miennes et quelquefois leurs premiers talons (un soin particulier leur était apporté). Celles de ma mère, très classiques. Les chaussures du dimanche de ma Mémée. Enfin les brodequins de travail de mon père.

Et je sortais l'attirail du parfait cireur. Cirage (il y avait plusieurs boîtes pour les différentes couleurs), vieux gants de toilette pour étaler les crèmes, petite brosse douce, grande brosse aux poils plus durs, chiffons doux pour lustrer, blanc à chaussures pour les sandales d'été, ...

J'avais la chance d'être une fille donc il était important aux yeux de mes parents que je devienne une ménagère accomplie ! Mes frères ont complètement échappé à ces principes. Serait-ce parce qu'ils étaient des garçons ? (mode ironique) 
Alors à moi ! cirage, balayage, repassage, lavage, ...

Depuis j'ai fait différemment avec mes enfants !

Et ... je ne cire plus mes chaussures ... surtout celles-ci.

Résolution

Je l'ai écrit en commentaire tout à l'heure "Bon c'est décidé depuis ce matin : je blogue moins et je vais faire du vélo !!!"

Si si ! j'en entends rire mais c'est pourtant vrai et pas plus tard que cet après-midi !

Et non parce que l'été pointe son nez (doucement !) et que je vais me mettre en maillot de bain short.

Plutôt parce que je viens de prendre un an et que j'arrive dans les années où il est hors de question que je grossisse comme ma mère ! 

Que j'aimerais également ne pas avoir trop de problèmes de santé en vieillissant et que du surpoids en entraîne très souvent.

Que je ne voudrais pas être gavée de médicaments comme je le constate chez des personnes pas encore si âgées que cela dans mon entourage ...

Que je veux être désirable pour mon homme encore longtemps ! A ce propos, je me demande depuis toujours ce qu'est la sexualité du troisième voire quatrième âge. Cela semble un sujet tabou dans notre société !

Dommage il n'y a pas beaucoup de blogueur(se)s de 85 ans sinon j'aurais bien aimé avoir leur point de vue ;-)

 

Donc pour en revenir à ma résolution du jour, je vais manger léger et ensuite é-li-mi-ner ...

 

10 mai 1981

25 ans déjà ...
J'imagine qu'il y aura eu des images au journal télévisé mais je ne regarde pas la télévision ici.
J'écoute seulement la radio par moments : France Info en voiture, France Inter dans la salle de bains. Ce matin, cet anniversaire a été évoqué.

Je me suis revue buvant du champagne tièdasse à la bouteille sur les Champs-Elysées avec des copains d'alors.
Ma conscience politique était balbutiante et non prioritaire dans mon emploi du temps de fille de 20 ans habitant en région parisienne et n'ayant aucun souci ! à part regarder les garçons.
Pourtant j'ai rapidement su que je garderais ce souvenir intact.
J'aimerais aujourd'hui que mes enfants connaissent des moments identiques, des instants où on a l'impression que l'histoire est écrite par nous ...
Enfin il ne faut pas exagérer ! Ce n'était pas les chars à la libération de Paris non plus ! ni les footballeurs ayant gagné la coupe du monde !
Aie Aie ! je m'égare mais c'est que je sens l'énervement poindre bientôt !
Comme mes oreillent trient parmi les infos, je ne connaissais pas encore les dates. Or mon frère cadet, grand adepte de sport devant l'écran (et encore, il n'a plus la télévision chez lui depuis qu'il a changé de femme !) m'a renseignée durant ce week-end.
Dans un mois, je vais commencer à attraper des boutons ...

La France ne réfléchira plus. Chirac, de Villepin, tenez bon encore quatre semaines ! Ensuite, il y a la coupe du monde, les vacances.
A la rentrée, tout sera oublié !

Et si l'année prochaine on faisait la fête au mois de mai !?

Effervescence

Réveillée en fanfare par un appel téléphonique du lycée de l'ado qui me prévenait qu'à cette heure là, il aurait dû être en cours alors qu'il dormait encore tranquillement car pensant commencer à dix heures !
On a assuré tous les deux pour que je le dépose à neuf heures. Seulement une heure de retard et il n'était pas le seul car incompréhension entre une prof, la "vie scolaire" et les élèves.

A peine de retour, la grande étudiante avait besoin tout de suite, là, maintenant ! c'est possible ? tu me les faxes ? mes relevés de notes de l'année dernière pour mon inscription que je dois déposer demain ... que je ne suis pas en avance !!!

J'ai dépanné tout le monde et cela m'a boostée pour la journée !

Depuis plusieurs jours, je n'arrivais pas à finaliser cette intention.
Je ne veux pas en dire plus mais je me suis décidée à entreprendre cette démarche que je remettais, j'ai téléphoné, doit rappeler cet après-midi pour prendre un rendez-vous ...
J'ai appelé ma belle-sœur qui travaillant dans un cabinet de recrutement est à même de m'éclairer dans certains domaines.

Je ne sais pas ce qui en sortira mais là tout de suite, j'ai envie de "bouffer du lion" !