Artisans, Musique, Association, Vin chaud, ...

J'ai passé beaucoup de temps le dernier week-end, dans mon ancien village quitté au mois de juillet.
L'association dont je faisais partie organisait pour la deuxième année une petite manisfestation que nous avons appelée pompeusement "Salon Artis'Art".
Nous avions réuni un vannier, une dentellière, un potier, une céramiste, et quelques autres personnes réalisant de jolis objets.

Un groupe de jeunes musiciens est venu animer le dimanche après-midi et d'autres sur des instruments dont je ne connais pas le nom, ont joué de la musique ancienne.

Les photos parlent mieux que moi.

















Et puis pour les gourmand(e)s qui passent par ici, sachez que j'ai préparé des litres de vin chaud à la cannelle ;-)

Ca va mieux ...

... Ouiiiii, parce que je n'avais pas l'air comme ça mais depuis le début de la semaine, j'étais pratiquement en train de rédiger mon testament ;-)
Et bien non, je vais attendre encore un peu !
Parce qu'en fait, là depuis cet après-midi après un petit examen de rien du tout, je sais que je vais très bien ... et ça va mieux, je vous assure ... Ouf ! jusqu'à la prochaine fois, je saiiiiis ...

A moins que j'arrive à me raisonner ? ... pas gagné :) je connais mes défauts ! ...

Préfectoralement parlant

J'ai découvert hier le langage préfectoral !
Je n'avais pas encore eu jusqu'à présent l'heur de l'entendre ...
Dommage pour moi : je subodorais que ça pouvait exister mais je doutais encore ... Naïve que j'étais !

Donc, hier matin (après gratté le givre sur le pare-brise de ma voiture ...) me voici partie pour faire changer l'adresse sur la carte grise de mon véhicule.
Oui je sais ... nous avons déménagé fin juillet et ce n'était toujours pas fait ! C'était même carrément passé aux oubliettes lorsqu'un sympathique gendarme l'a gentiment signalé la semaine dernière à mon homme, lors d'un contrôle. Même qu'il paraît que ça coûte 90 euros mais que voyant qu'il avait affaire au ....... de N......, il lui a dit qu'il fallait passer à la préfecture rapidement et que pour cette fois-ci ça passait ! Magnanime le monsieur ... L'histoire ne dit pas s'il aurait dit la même chose à Mohamed !
Bref, j'arrive à la préfecture munie de tout ce que je pensais avoir besoin pour mon affaire. A savoir, pièces d'identité, cartes de grise, livrets de famille, justificatif de domicile.
J'ai senti que l'entreprise allait être délicate dès l'accueil dans le grand hall. Un seul bon point (normal nous sommes à l'accueil je vous rappelle !), la jeune femme est jeune et jolie (mais bon moi qui suis une femme, je préférerais un jeune homme jeune et joli !) mais elle accueille et ... c'est strictement tout. Il y aurait des flèches au sol ça aiderait autant ... à sa décharge, elle a senti tout de suite que j'étais un cas d"école et que c'était trop compliqué pour elle !
Alors, elle se contente de m'envoyer munie d'une demande à remplir, voir sa collègue assise sous le panneau "cartes grises".

Je vous explique la situation. Nous nous servons de deux voitures, la nôtre (là c'est réglé, j'ai la nouvelle carte grise) et celle de notre fille qui est toujours "à notre charge" (fiscalement parlant), qui est dans une école à 400 kilomètres d'ici, qui n'a pas les moyens de mettre de l'essence dans la voiture (je vous rassure, elle a de quoi se loger, manger, acheter des livres, des CD, se payer des cours de musique, ...) et qui nous laisse sa vieille voiture (cadeau de son tonton) pour nous dépanner.
Mais le souci du jour c'est que même si c'est moi qui m'en sers, qui paye l'assurance ; je n'ai pas le droit de demander le changement d'adresse sur la carte grise !!!
Le premier moment d'agacement intérieur passé, j'ai tenté de faire comprendre la situation à la dame ... Je n'aurais pas dû ... j'ai rapidement senti que toute explication était inutile.
J'avais en face de moi, protégée par sa vitre (blindée au minimum ! je ne sais pas de quoi ils ont peur pour être comme ça dans un bocal !) une harpie qui aboyait ... Comme en plus, il y a un amplificateur côté public pour qu'on entende bien, tout le monde en profitait :)
Le plus amusant c'est que pour avoir été formée à ce genre d'échanges qui peut s'avérer difficile, j'ai gardé un calme olympien ponctué de Ouiiii ! Madame ... je vouuus comprends ... des plus faux-culs !

Résultat, je sais comment je vais procéder pour obtenir la nouvelle carte grise et je luis dis M.... à la madame ;-)

J'avais tendance à ne pas penser systématiquement du mal des gens en me basant seulement sur leur profession ou leur lieu de travail ! Mais voilà, cela risque de me rattrapper maintenant.
La prochaine fois que je me rendrai à la préfecture, ce sera certainement avec des a priori ;-)

Filiation (3)

Le côté maternel ayant été évoqué ici et
là, je vais poursuivre mes histoires du passé en tentant de raconter la vie de ma grand-mère paternelle (puis celle de son fils) ...

Elle est née en 1900 dans un petit village de l'Yonne.

Elle s'appelait Gisèle.
Mais c'est le peu de choses que je sais d'elle ... Parce qu'il est encore temps que je me renseigne auprès de quelqu'un, je ferai peut-être un effort pour cela ... je dirai comment à la fin de cette note.

Elle s'est mariée sans doute en 1920 et en 1922, elle devient la mère d'une petite P........
Elle habite toujours au même endroit. Mais l'histoire tourne court à la suite de la mort du mari. Les séquelles de la grande guerre étaient trop présentes pour beaucoup d'hommes de cette génération !
La petite fille n'avait alors que 8 ans ... Sa mère pour subvenir à ses besoins, va "se placer" (comme on disait à cette époque) comme bonne à tout faire chez un homme riche, veuf et père d'une petite fille. Vous devinerez sans doute ce qui va arriver ?
En 1934, elle quitte la région et se rend en banlieue parisienne, peut-être accueillie chez une de ses soeurs mise dans la confidence !
Au mois d'août, elle met au monde un garçon qu'elle prénommera R... et qui sera déclaré sous son nom patronymique. Sur l'acte de naissance de mon père figure seulement ces renseignements ainsi que le lieu de naissance : un hôpital dans le 12ème arrondissement parisien ... D'après les documents officiels de l'Assistance publique, il est informé qu'il a été abandonné à l'âge de 15 jours ... et qu'il ne doit pas être baptisé ...

Après, on ne sait pas trop ce qui s'est passé pendant sa tout petite enfance. Il a dû vivre dans des orphelinats puis est arrivé dans la Nièvre vers l'âge de deux ou trois ans. Il est placé dans différentes familles. Dans une, il y reste très peu de temps car ces personnes le font baptiser ! La sanction est alors immédiate.
On le change d'endroit et il atterrit en 1940 chez une vieille dame, veuve et mère de deux grands enfants, mariés tous les deux.
Nous sommes en pleine guerre. Le gendre de cette dame est prisonnier en Allemagne alors sa fille revient vivre près de sa mère. Elle est mariée depuis 1929 mais n'a pas eu d'enfant. Elle a 29 ans et ce petit garçon de 5 ans qui n'a encore jamais dit "Maman" va décider de l'appeler ainsi ! La vieille dame sera appelée Mémère puisque c'est ainsi qu'il entend faire ses deux petits garçons : les enfants de son fils qui passent beaucoup de temps chez elle. Son fils et sa belle-fille habitant en région parisienne, envoient leurs enfants chez leur grand-mère à la campagne où les effets de la guerre sont atténués.
Les trois garçons vont devenir des compagnons de jeux inséparables, maternés par une jeune femme en mal d'enfant, chouchoutés par une grand-mère affectueuse.
Mon père restera donc dans cette maison. La guerre finie, la "Maman" retrouvera son mari et une autre maison mais n'emmènera pas avec elle le petit garçon. Il restera chez la Mémère, grandira assez facilement malgré un début de vie assez perturbé. Il continuera à voir très régulièrement sa "Maman" et au fil du temps appellera ensuite son mari "Papa". Pour moi, ils seront "Mamie" et "Pépé" ...

Dans un autre récit, je relierai les histoires de ma mère et de mon père puis raconterai les recherches qu'ils ont entreprises sur leurs origines.
C'est ainsi que je connais ma tante P....... et bien que je la voie rarement, je crois que je vais bientôt la questionner sur "ma grand-mère" ...

Pour les gastronomes

Je vous donne un devoir pour le week-end !
Préparer de la Lemon Curd, faire des photos et afficher le résultat par la suite sur vos blogs.
Tous les participants sont les bienvenus et rassurez-vous ce n'est pas compliqué et surtout c'est excellent ...

Voici la recette que j'utilise (comme Cécile le soulignait il y en a plusieurs).

- 120 g de beurre (oui, ne pas prévoir un début de régime ! Anne, tu peux y aller ça ne se verra pas !)
- 3 oeufs
- 250 g de sucre (pour le régime, ça continue ...)
- 4 citrons jaunes non traités (ou 3 jaunes et un vert)
Dans un plat creux (style cul-de-poule), fouetter les oeufs entiers et le sucre. Râper le zeste d'un citron et le découper en tous petits morceaux. Ajouter au mélange oeufs-sucre le jus des 4 citrons, les zestes et le beurre coupé en petits morceaux.
Placer le récipient au dessus d'un bain-marie chaud (et qui continue à bouillonner) et faire cuire jusqu'à épaississement, soit au moins une demi-heure en remuant presque sans arrêt !
Le mieux, c'est de goûter en cours de cuisson. Vos papilles vont adorer ;-)

Le résultat donne deux pots de crème qu'on peut conserver un mois au frais.

Cuisine d'hiver

A la demande précise de Karine mais aussi parce que Pim et Anne se léchaient les babines ;-) voici la recette du potage aux pois cassés. Enfin telle que moi je le prépare !
Il y a certainement des variantes qu'on peut trouver sur Marmiton.
Dans un vieux livre de recettes, elle s'appelle joliment le potage St Germain.

Alors vous allez voir : cela n'a rien de compliqué et fait un très bon repas du soir suivi d'une tarte aux pommes. Pour les plus affamés, on peut manger aussi un morceau de fromage et le tour est joué !

Pour 4 personnes :
- 250 g de pois cassés (ils se trouvent souvent au rayon épicerie à côté des lentilles)
- 4 belles pommes de terre
- 1 gros oignon
- thym émiétté, persil ciselé, feuille de laurier
- 1 litre d'eau (ou 1 litre de bouillon préparé avec un cube)
- sel, poivre

Laver dans plusieurs eaux les pois cassés ; éplucher l'oignon, le couper ; éplucher les pommes de terre, les couper en gros morceaux.
Plonger les pois dans le litre d'eau froide et amener à ébullition. Ecumer puis faire cuire à feu doux une demie heure en ayant ajouté également l'oignon, thym, persil, laurier.
Ensuite mettre les pommes de terre et cuire encore un demie heure.
Ces indications de cuisson sont toutes relatives. Il faut que les pois et les pommes de terre s'écrasent facilement à la fourchette. Enlever la feuille de laurier et passer le potage. Si besoin durant la cuisson, on peut ajouter de l'eau.
Si tout cela est trop épais, on l'appellera purée !
Lorsque le potage est dans l'assiette, ajouter un peu de crème fraîche (ou du lait).

Voici l'heure du repas qui arrive, je vais aller gratter les moules ...

Réalité ou pas ...

Ici, j'ai écrit : Ce n'est peut-être pas la vérité !
C'est celle que je veux mais est-ce celle de ma vraie vie ? ...

Ce que je raconte sur ce blog est une partie de ma vie mais je fais des omissions (volontaires ou pas d'ailleurs).
Je me censure d'office également. Mais je ne mens pas (en tout cas, pas délibérément).
Ce que j'essaye, c'est raconter avec le plus d'exactitude possible ce que je vis, comment je le vis, pourquoi je le vis.
Ce que j'aime, c'est qu'on "regarde" chez moi mais ce que j'ai envie de montrer seulement.
Alors, j'affiche ce qui m'avantage !
Je ne ferme jamais tôt les volets de mes salon et cuisine. Vous avez le droit de me voir bouquiner, tapoter sur le clavier ou préparer une pizza ;-)
J'ai ainsi le sentiment de donner ma vie en spectacle. Je me sens actrice de ma propre vie !
(J'ai bien l'impression d'avoir transmis cela à quelqu'une ...)

Pareillement, j'adore aussi observer chez les autres ...
Mon grand plaisir consiste à me balader en ville le soir en cette saison. Les lumières s'allument dans les appartements alors qu'il est encore tôt. Les vies s'étalent presqu'au grand jour. Les familles vivent sous mes yeux, les décorations des maisons apparaissent, ... et mon imagination fait le reste.
Et bien sûr, je satisfais ma curiosité en lisant des blogs.
J'y découvre des vies que j'envie (ou pas), des histoires qui me font rêver, des idées pour changer des choses dans ma vie, ou pour améliorer mes réflexions, ...

Et en confidence, oui je souhaite aussi procurer des envies, apporter des idées, donner du rêve ...

A vous de voir si cela vous est profitable ...


Et là maintenant, je vais mijoter un potage aux pois cassés et aux pommes de terre :-)

Instantanés

Il y a eu des moments comme j'aime et des instants privilégiés dont nous aurons le souvenir.

Mon ado, son oncle et son père concentrés sur un parcours à réaliser ...



Puis la première pièce s'écroule et le reste à sa suite !



Pendant ce temps, l'écharpe avançait ...



Pour terminer autour du cou du "Poussin" de la famille ;-)



Un pot de crème au citron pour des petits déjeuners à 10 heures du matin.



Un gâteau d'anniversaire avec un peu de retard sur le 18 octobre.




Et aussi des parties acharnées des "aventuriers du rail". Jeu de société sur plateau dont mon frère joue également des parties sur internet. Pour Cédric, il y a des renseignements supplémentaires sur le site Les aventuriers du rail.

Un match de hand pour l'ado le dimanche après-midi et ... une entorse à un doigt :-( mais son équipe a gagné !

Des discussions enflammées entre l'oncle et la nièce sur leurs groupes favoris : Oasis, Placebo c'est commercial ! Bloc Party c'est nul !
Heureusement, toute la famille se retrouve sur Mickey 3D, Têtes Raides, Noir Désir, Miossec, Bowie, The Offsprings, ...
Des points de vue sur les derniers films vus et les bouquins lus. Je retiens à lire de Arturo Pérez-Reverte : Le tableau du Maître flamand.

Des photos de "Poussin" qui du haut de ses 2 ans presque et demi, fait fondre tout le monde avec ses mimiques ;-)

Un repas dans un restaurant de spécialités du pays, du feu dans le cantou, des lumières d'automne, de la brume, un lundi ensoleillé et ... le départ de la maison aux volets bleus ...


Le week-end prochain sera totalement différent ... j'en ferai certainement une note aussi.

Soirée spéciale attente

Mon homme est allongé avec la pile de BD que l'ado a ramené de la médiathèque.

L'ado et la grande regardent un film sur le PC.

Le chat dort sur le matelas préparé dans le salon.

J'ai fait 3 pots de Lemon Curd après le dîner.

Je blogue un peu.

Je vais commencer une écharpe pour elle.

Pendant ce temps, ils sont partis de Paris tout à l'heure vers 21 heures. Ils pensent arriver ici vers 3 heures du matin.
Ils ne repartiront que lundi dans la journée.

On attend mon frère cadet, ma belle-soeur et ma petite nièce de 2 ans et demi surnommée "le Poussin" ... Le week-end va être joyeux ici et dans la maison aux volets bleus ;-)

Peut-être fatigant aussi !

Réseau à la campagne

Imaginer une salle remplie de plusieurs rangées de tables alignées sur lesquelles sont posés des dizaines d'ordinateurs.
Un câblage impressionnant de fils relie les machines entre elles et les connecte à internet grâce à l'ADSL.
Derrière chaque PC (eh oui, je n'ai pas vu de Mac !), il y a un joueur en puissance.
Il a plutôt entre 15 et 25 ans (il est le plus souvent lycéen ou étudiant), mais le plus âgé avait tout de même 41 ans ! Les représentantes féminines brillent par leur absence : 2 seulement étaient présentes ...

Une lan se déroule en général sur un week-end complet du vendredi soir au dimanche après-midi. Les parties se jouant à partir du samedi en fin de matinée jusqu'au début du dimanche après-midi et ensuite il y a la remise des prix. La soirée puis la nuit du vendredi au samedi sont consacrées aux entraînements suite à la constitution des équipes. En effet, les joueurs s'inscrivent par avance (sur un site internet dédié) soit par équipes entières soit en individuel au départ.
De mémoire, les jeux sur lesquels ils s'affrontent sont Warcraft III, Counter Strike et Quake III.

Ils vont donc passer pratiquement 48 heures les yeux rivés à l'écran et les doigts scotchés sur les souris et clavier.
Ils mangent et dorment sur place (les matelas sont prévus et ils amènent leur duvet). L'organisation et les bénévoles (dont je faisais partie avec mon homme) ont le souci de les nourrir copieusement et d'assurer une certaine surveillance.
Nous devions leur préparer sur tout le week-end 4 repas et 2 petits déjeuners. Il a fallu beaucoup tartiner de sandwiches et confectionner de salades composées ; le tout étant littéralement dévoré par de jeunes affamés.
Le virtuel c'est bien mais quelquefois l'estomac réussit à se faire entendre ;-)

Nous nous sommes retrouvés à découvrir ce milieu et à participer grâce à notre ado qui comme beaucoup de jeunes de sa génération, est un accro des jeux vidéos. Enfin j'ai déjà constaté qu'il y avait des adultes-mères de famille, n'est-ce-pas Sophie ;-) qui sont également fans !
Je comprends tout à fait cet engouement moi qui allume l'ordinateur en me levant ...

Pour finir, je voudrais faire une ouverture vers une future note où je parlerai de notre choix de vie à la campagne, de ce qui s'y passe et pourquoi on y est bien !
J'ai rencontré des joueurs pendant ce tournoi qui venaient de villes différentes : Marseille, Bordeaux, Clermont-Ferrand, Brive, Rodez, ... Il sont tous repartis enchantés de leur week-end campagnard !
On peut constater que le milieu rural sait être à la pointe de la modernité en matière de nouvelles technologies ;-)



Ils étaient exactement 116 réunis par la même passion ...

Pommes Pommes Pommes Pommes !

J'ai un seul arbre fruitier sur le petit terrain qui entoure la maison aux volets bleus. Il semble déjà assez âgé mais depuis deux ans nous offre chaque année une très belle récolte.
Je pense que la variété est la Sainte Germaine. Elles sont acidulées et avec une chair ferme : rien à voir avec les pommes des magasins ;-)

Elles vont terminer en tarte tatin, tarte normande, crumble, compote, clafoutis, au four, ... Je vais essayer aussi la pâte de fruit. Elles sont excellentes également crues avec un morceau de Cantal !
Si vous avez d'autres idées ou recettes, je suis preneuse.

Novembre brûlant ...

Ce matin, le pare-brise de ma voiture était gelé pourtant il fait "chaud" en ce moment dans notre pays et cela me rend malheureuse ...
Malheureuse car impuissante ! Comment réagir face à ce déferlement de violence, de douleur, de haine, de détresse, ...
Nos blogs me semblent plus que jamais, être des petits défouloirs d'égoïsme et de nombrilisme.
A côté de nous, il y a des vies tellement différentes ...
Et pourtant, peut-être ne faudrait-il pas grand-chose pour qu'elles soient heureuses.
J'ai tendance à penser que le bonheur existe et que nous l'avons tous à portée de main ! Il suffit d'un peu d'éducation peut-être pour apprendre à être comblé par de petites choses au quotidien.
Mais éduquer n'est pas la priorité car ainsi l'homme réfléchit à sa condition. Or maintenant le manque d'éducation conduit à la violence ! Il y a urgence à inverser le cours des choses sans tarder ...
Et si on commencait pas arrêter de rogner le budget de l'éducation nationale et ainsi avoir des classes de 15 élèves qui auraient de la sorte envie de venir apprendre ce que des professeurs auraient à coeur de vouloir transmettre ...